« Ce n’était rien. Elle n’était rien.
Non, il était injuste. c’était quelqu’un, et même quelqu’un de bien. Mais elle n’était pas pour lui. »
« Ce n’était rien. Elle n’était rien.
Non, il était injuste. c’était quelqu’un, et même quelqu’un de bien. Mais elle n’était pas pour lui. »
« Si Philip à l’air d’être un homme honorable.
-Ah oui ? Et tu as fait cette habile déduction pendant que tu l’étranglais ? lança-t-elle.
Il la gratifia d’un regard espiègle.
-Tu serais surprise de ce qu’un homme peut en apprendre sur un autre au cours d’un combat.
-Parce que tu appelles ça un combat ? À quatre contre un ?
-Je n’ai jamais dit qu’il s’agissait d’un combat équitable. »
« -Quant à vous, reprit cette dernière à l’adresse de Benedict, attendez-moi en bas. Il faut que nous ayons une petite conversation, vous et moi.
– Je tremble de peur, fit Benedict, feignant l’effroi.
– De lui ou de son frère, je ne sais lequel me tuera le premier, gémit lady Bridgerton.
– Quel frère?
– Chacun. Tous. Les quatre. Ce ne sont que des voyous. »
« On ne vous a jamais dit que vous étiez une exaspérante jeune personne, miss Bridgerton ?
— La plupart des gens me trouvent bienveillante et généreuse.
— La plupart des gens sont des imbéciles, rétorqua Simon.
Elle pencha la tête de côté, comme pour peser ces paroles. Puis elle posa son regard vers Nigel et laissa échapper un soupir las.
— C’est terrible, mais j’ai bien peur d’être d’accord avec vous.
Simon réprima un sourire.
— Qu’est-ce qui est terrible ? Le fait d’être d’accord avec moi, ou celui de constater que la plupart des gens sont des imbéciles ?
— Les deux… dit-elle en lui décochant un sourire lumineux.
Lorsqu’elle le regardait ainsi, il perdait le fil de ses idées.
— … mais surtout le premier, précisa-t-elle. »